dimanche 30 décembre 2012

Comment Chercher Un pilote Pour Mon Ordinateur


Présentation : L'installation et la mise à jour régulière des drivers d'un matériel informatique est nécessaire à son fonctionnement optimal. C'est pourquoi vous trouverez ici tous les drivers indispensables pour les différents composants et périphériques de votre ordinateur ainsi que d'autres types de mises à jour comme des bios et des firmwares. Toutes ces mises à jour sont classées ci-dessous par catégories de matériel et par constructeurs
ce blog vas vous aidez a trouver et aprendre comment chércher vos pilotes(drivers)pour votre orinateur(computer)
pour commançer  merci de suivre le lien  suivant: Aprendre atrouver un pilote(driver) ou Bien Poursuiver la lecture de l'article





1-Présentation
2-les sites de recherche des pilotes(drivers)
2-1 défénistion du site (http://www.touslesdrivers.com/)
2-1-1 comment fonction le site(http://www.touslesdrivers.com/)
3-les programmes qui nous aide à trouver les noms des matérieux
4-les trucs et astuces pour réglés les problémes de votre ordinateur
2- On vas commencer par les sites qui nous donne la possibilté de chercher un pilote (driver) facilement:
- http://www.touslesdrivers.com/ | http://www.ma-config.com/
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2-1 Défénition du (http://www.touslesdrivers.com/)
    C'est un grand site qui nous donne la possibilité  de la recherche autoatique des pilotes l'aide du     software(ma-config).
et aussi les informations de tous les matériaux et leur sites du fabricant sans oubier la posibilité de charcher les pilotes avec le moteur de recherche du site
2-1-1 comment fonction le site(http://www.touslesdrivers.com/)
c'est tros simplea utiliser juste suiver les etapes  suivantes
-Enter sur le lien (http://www.touslesdrivers.com/)
-Cliquer sur (Mes drivers)  en haut de la page index(la page d'acceil)
-Cliquer sur (Lancer la détection) remarque tu peu jutecliquer sur les lienssur cette page 
-Une barre jaune vas s'afficher en haut de  la page sur tous les navigateurs télque(internet Explorer9) ou bien en bat de la page en ka des nouveaux navigateur télque (internet Explorer6-7-8)
-Installer  l'active x aprés l'avoir autorisé (un petit programe va s'installer automatiquement si non suiver les instructions suivantes :
* aprés avoir autorisé l'active x télécharger le programe pour les windows (32bit-(x86)) ici http://fichiers.touslesdrivers.com/maconfig/MaConfig_5_1_4_1.exe
* aprés avoir autorisé l'active x télécharger le programe pour les windows (64bit-(x64)) ici http://fichiers.touslesdrivers.com/maconfig/MaConfigx64_5_1_4_1.exe
C'est fini poursuiver l'etape final une liste des pilotes compatible avec votre matérielle vas s'afficher  choisi le pilote et cliquer sur le lien une autre page vas s'ouvrire et la tu trouvra des information sur le pilotes et le lien de pui le quel tu peu télécharger le pilote.
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3-Programe qui nous aide a trouver les nom des matériaux
3-1 aida 32

aida32 c'est un programe qui aide a trouver les noms des pilotes non instller sur vitre ordinateur 
lien  de téléchargement : Télécharger Aida32
3-2 Everest Ultimate 5.50.2100
Comme AIDA32 ou Sisoft Sandra, Everest reste un must du genre, même s'il est devenu payant. Ses fonctionnalités justifient en grande partie son prix.
Ce logiciel ne couvre pas seulement la partie matérielle de votre ordinateur mais analyse également la couche logicielle et notamment le système d'exploitation et ses modules importants comme Direct X et les pilotes réseaux & ODBC.
Lien de téléchrgement :Télécharger everest ultimate
4- trucs et astuces
Contacter nous sur aichaelyakouti@gmail.com
tous les astuces prochénement sur notre blog
Revister nous merci


vendredi 2 novembre 2012

Formatage & formatage physique


  • Le formatage de bas niveau
  • Somme de contrôle
  • Formatage de haut niveau
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Avant de vouloir comprendre ce qu'est le formatage, il est essentiel de connaître le fonctionnement d'un disque dur. Beaucoup de personne ne distinguent pas le formatage de bas niveau (appelé aussi formatage physique) et le formatage de haut niveau (appelé aussi formatage logique).
Les disques durs, aussi petits soient-ils, contiennent des millions de bits, il faut donc organiser les données afin de pouvoir localiser les informations, c'est le but du formatage. La surface de chaque cylindre, originalement uniforme est divisée lors du formatage (par divisée on entend que les particules à la surface du disque sont magnétisées bien sûr...) en petites parcelles qui pourront plus facilement être repérées.

Le formatage de bas niveau
Le but du formatage de bas niveau est de diviser la surface des disques en éléments basiques :
  • pistes
  • secteurs
  • cylindres
Un disque dur est, rappelons-le, constitué de plusieurs plateaux circulaires tournant autour d'un axe et recouverts de part et d'autre par un oxyde magnétique, qui, en étant polarisé, va pouvoir stocker des données.

Les pistes sont des zones concentriques écrites de part et d'autre d'un plateau.


Enfin, ces pistes sont découpées en quartiers appelés secteurs.


Les pistes se comptent par milliers et comptent chacune de 60 à 120 secteurs environ.

On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur une même pistes de plateaux différents (c'est-à-dire à la verticale les unes des autres) car cela forme dans l'espace un "cylindre" de données.

Le formatage physique consiste à ainsi organiser la surface de chaque plateau en entités appelées pistes et secteurs, en polarisant grâce aux têtes d'écriture des zones du disques. Les pistes sont numérotées en partant de 0, puis les têtes polarisent concentriquement la surface des plateaux. Lorsque l'on passe à la piste suivante, la tête laisse un "trou" (appelé gap en anglais) et ainsi de suite. Chaque piste est elle-même organisée en secteurs (numérotés en commençant à partir de 1) séparé entre eux par des gaps. Chacun de ces secteurs commence par une zone réservée aux informations du système appelée préfixe et se termine par une zone appelée suffixe
Le formatage de bas niveau a donc pour but de préparer la surface du disque à accueillir des données (il ne dépend donc pas du système d'exploitation et permet grâce à des tests effectués par le constructeur de "marquer les secteurs défectueux.
Lorsque vous achetez un disque dur, celui-ci a déjà subi un formatage de bas niveau, IL N'EST DONC PAS NECESSAIRE D'EFFECTUER UN FORMATAGE DE BAS NIVEAU!

Somme de contrôle

Effectivement, pendant le formatage des tests de contrôle (algorithme permettant de tester la validité des secteurs grâce à des sommes de contrôle) sont effectués et à chaque fois qu'un secteur est considéré comme défectueux, la somme de contrôle (invalide) est inscrite dans le préfixe, il ne pourra alors plus être utilisé par la suite, on dit qu'il est "marqué défectueux".
Lorsque le disque lit des données, il envoie une valeur qui dépend du contenu du paquet envoyé, et qui est initialement stockée avec ceux-ci. Le système calcule cette valeur en fonction des données reçues, puis la compare avec celle qui était stockée avec les données. Si ces deux valeurs sont différentes, les données ne sont pas valides, il y a probablement un problème de surface du disque.
Le contrôle de redondance cyclique (CRC, en anglais cyclic redundancy check), est basé sur le même principe pour contrôler l'intégrité d'un fichier.
Les utilitaires d'analyse tel que scandisk ou chkdsk opèrent autrement :
ils inscrivent des données sur les secteurs à priori marqués valides, puis les relisent et les comparent. Si ceux-ci sont similaires, l'utilitaire passe au secteur suivant, dans le cas contraire ils marquent le secteur défectueux.

 Formatage de haut niveau

Le formatage logique s'effectue après le formatage de bas niveau, il crée un système de fichiers sur le disque, qui va permettre à un système d'exploitation (DOS, Windows 95, Linux, OS/2, Windows NT, ...) d'utiliser l'espace disque pour stocker et utiliser des fichiers.
Les systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers différents, ainsi le type de formatage logique dépend du système d'exploitation que vous installez. Ainsi, si vous formatez votre disque en un seul système de fichiers, cela limite naturellement le nombre et le type de systèmes d'exploitations que vous installez (en effet vous ne pourrez installer que des systèmes d'exploitation utilisant le même système de fichiers).
Heureusement, il y a une solution à ce problème qui consiste à créer des partitions. Chacune des partitions peut effectivement avoir son propre système de fichiers, vous pouvez par conséquent installer des systèmes d'exploitation de natures diverses.

Lors du formatage d'un disque dur à l'aide de la commande format sous DOS, l'omission du commutateur "/s" peut entraîner l'empêchement du démarrage du système d'exploitation. Le système vous affiche alors le message suivant :
Disque non système / Erreur disque

Dans ce cas, il est utile de posséder une [boot.php3 disquette système], de booter sur celle-ci, puis d'exécuter la commande sys a: c:.

Remarque :[source:Comment ça marche]


lundi 29 octobre 2012

How To Install windows 7

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Video : How to install windows 7


The Windows 7 is finally here. It's released for beta testers a few days ago and I am here with a small step by step picture guided tour through the installation process. I downloaded the x86 version of the M3 build ( build No: 6801) from Microsoft Connect site, which is 2.72 GB ISO. The x64 version is around 3.2 GB in size.

The installation process was just like vista setup and to my surprise completed in just around 20 minutes in my low end Virtual hardware. This surely indicates the performance improvements Microsoft has put on this windows vista replacement.

The TestMachine

I decided to install Windows 7 in a VMware workstation first to make sure that the DVD I burned is perfect. VMware is great for taking screen shots and screen captures also.

VMWare Version: VMWare Workstation 6.5
Virtual HArddisk : 9 GB
RAM : 512 MB
Processor : Single Core
Windows Version : Windows 7 Ultimate M3 v6801-0-080913-2030


Preparing the DVD from the ISO image

Since most the people are installing Windows 7 in a real hardware, a DVD should be burned from the downloaded ISO image. You will need a DVD Burner, a DVD burning software and a blank DVD-R or DVD-RW to prepare the installation disk. I used a Sony single layer DVD-R as media and used Nero 8 as the DVD burning software. But for those who don't have Nero installed, CDBurnerXP is a free Alternative.

So using the DVD burning software of your choice burn the Windows 7 ISO image to the DVD. Make sure you choose the a very low burning speed, 4x or 8x, for better results.


Setting up your Computer & BIOS changes ( If required)

Now reboot your computer after popping in the all new Windows 7 DVD you just created in to the DVD Drive. In most cases if you do this you'll automatically boot in to the Windows 7 Installation DVD. But in some cases if the Boot device order is changed in the BIOS it may boot in to your older OS, instead of our DVD. In that case you'll need to change the BIOS settings to gt it done ( More details in a different tutorial).

watsh mor on The video or windows-7-installation-guide-tutorial

samedi 12 novembre 2011

Bios - Basic Input Output System


Le Basic Input Output System (BIOS, en français : « système élémentaire d'entrée/sortie ») est, au sens strict, un ensemble de fonctions, contenu dans la mémoire morte (ROM) de la carte mère d'un ordinateur, lui permettant d'effectuer des opérations élémentaires lors de sa mise sous tension, par exemple la lecture d'un secteur sur un disque. Par extension, le terme est souvent utilisé pour décrire l'ensemble du micrologiciel de la carte mère.
Fournisseurs
Le BIOS est presque toujours développé par le fabricant de la carte mère car il contient les routines élémentaires pour effectuer les opérations simples d'entrée/sorties évoquées ci-dessus.
Tous les ordinateurs, y compris ceux qui existaient bien avant l'invention du PC (par exemple IBM 1130 et 1800), possédaient par définition un BIOS. Toutefois, depuis 1981, ce mot désigne plus spécifiquement celui de l'IBM PC.
Depuis 1999, la Fondation pour le logiciel libre soutient coreboot (LinuxBIOS) un BIOS sous licence Licence publique générale GNU car on peut maintenant flasher le BIOS de sa carte mère pour le remplacer par un autre. L'avantage de ce système (machine fonctionnant avec un BIOS) est de ne pas devoir développer un système d'exploitation spécifique pour chaque carte mère.
Peu importe comment le fabricant a développé cette carte mère (quels composants il a choisi, peu importe comment fonctionne le « hardware » de cette carte mère), en utilisant les mêmes fonctions du BIOS sur deux cartes mères différentes, on obtiendra le même résultat. Ce sont ces fonctions que les systèmes d'exploitation utilisent pour faire fonctionner les applications. Le BIOS comprend également le POST (Power-On Self-Test), exécuté au démarrage de l'ordinateur, qui déclare les disques, configure les composants et recherche un système d'exploitation avant de le lancer. Sa tâche principale est de fournir un support de bas niveau pour communiquer avec les périphériques. Habituellement ceci inclut le support du clavier au moins dans un mode (pas forcément l'USB) et d'un mode d'affichage simplifié. Le BIOS est écrit en code machine et a généralement été développé en langage assembleur.
Les deux BIOS historiques du PowerPC se sont nommés successivement PREP et CHRP.

Boot BIOS

Depuis l'introduction des PC compatibles IBM en août 1981, le BIOS émet les premières commandes au système durant la phase de démarrage, pour indiquer par exemple sur quel disque et à quel endroit de celui-ci trouver le chargeur d'amorçage (ou Boot loader) du système d'exploitation, en général Windows, Linux, Mac OS ou autre. Dans le cas de Windows, il s'agit du NTLDR, dans le cas d'un système en multiboot (possibilité de démarrer plusieurs systèmes d’exploitation sur un même ordinateur), Lilo dans les cas simples (Windows et Linux), GRUB dans les cas plus sophistiqués (tous systèmes supportés).
Le BIOS contient également des outils de diagnostic pour vérifier sommairement l'intégrité des composants critiques comme la mémoire, le clavier, le disque dur, les ports d'entrée/sortie, etc.
Certains paramètres du BIOS peuvent être réglés par l'utilisateur (ordre des périphériques à scruter pour détecter une zone de boot, type et fréquence du processeur, etc.). L'ensemble de ces paramètres est stocké de manière permanente grâce à une mémoire de taille réduite (quelques centaines d'octets) à faible consommation (type CMOS) alimentée par une pile (généralement au lithium) présente sur la carte mère. Cette mémoire est communément appelée, par abus, « CMOS ».
Le code source des premiers PC et AT BIOS était inclus avec le Manuel des Références Techniques IBM. Aujourd'hui, la plupart des cartes mères sont livrées sans le code source du BIOS. L'utilisateur doit télécharger des mises à jour fournies par le constructeur. Ces mises à jour sont parfois nécessaires à la prise en charge de certains périphériques.
Historiquement, en plus des fonctions de diagnostic et de configuration, le BIOS fournit un ensemble de services permettant de faire le plus d'abstractions possible de la couche matérielle. Ces services sont utilisés par le système d'exploitation et sont accessibles via certaines zones mémoires (40:00 par exemple) ou certaines interruptions logicielles (10h, 11h, 12h et 13h notamment). Cependant, dans la pratique, les systèmes d'exploitation modernes n'utilisent ces services que lors de l'amorçage ; ils utilisent ensuite soit leur propres pilotes, soit les fonctions ACPI pour les opérations liées à la carte mère.

BIOS en tant que firmware

Le BIOS est parfois appelé firmware, car il est très proche du hardware. Avant les années 1990, les BIOS étaient stockés sur des puces ROM qui ne pouvaient être modifiées. Au fur et à mesure que leur complexité, et le besoin de mises à jour se sont fait sentir, ils furent stockés sur des mémoires EEPROM ou Flash qui pouvaient être modifiées.
Ainsi, il est possible de mettre à jour, de manière logicielle, le BIOS d'un ordinateur. Cette action est appelée « Flasher le BIOS ». Un problème (coupure d'électricité, mauvaise version de ROM...) lors de cette opération peut rendre la carte mère définitivement inutilisable. Il est donc conseillé de ne flasher le BIOS que lorsque cette opération est vraiment nécessaire. Certaines cartes mères possèdent deux versions du BIOS : la version actuelle qu'il est possible de modifier logiciellement et une copie de sauvegarde, un cavalier permettant d'écraser la version actuelle par la version de sauvegarde. Il existe, de plus, des mécanismes permettant d'ajouter une deuxième mémoire flash à une carte mère n'en possédant qu'une, à condition que la puce initiale du BIOS soit extractible.

Vulnérabilités du BIOS

Le BIOS étant le firmware lancé au démarrage, il est régulièrement la cible de logiciels malveillants. En 1999[1], le BIOS a connu sa première attaque d'envergure avec la propagation du virus CIH. Le virus était très agressif puisqu'il effaçait l'intégralité du contenu des disques[2].
Depuis que les mises à jour du BIOS peuvent être réalisées à la volée, il est possible que ceux-ci soient la cible d'attaques de type homme du milieu.

Le firmware sur les cartes d'extension

Un ordinateur peut héberger plusieurs puces BIOS. En plus du BIOS de boot, qui contient les fonctions pour accéder au matériel important, comme le clavier, des cartes d'extension comme les cartes SCSI ou les cartes vidéo peuvent embarquer leur propre BIOS, améliorant ou remplaçant les fonctions du BIOS de boot.

Le signal power good, qui déclenche le BIOS

Article détaillé : Power-on self-test.
Le Power-on self-test (POST, l'auto-test au démarrage) désigne la première étape du processus plus général appelé amorçage.
Lors de cette étape, le BIOS teste la présence des divers périphériques et tente de leur attribuer les ressources nécessaires à un fonctionnement sans conflit. Le POST terminé, le contrôle est cédé au système d'exploitation.

Extensible Firmware Interface

Article détaillé : Extensible Firmware Interface.
L'Extensible Firmware Interface (EFI), aujourd'hui remplacé par l'UEFI (Unified EFI) est un logiciel intermédiaire entre le micrologiciel (firmware) et le système d'exploitation (OS) d'un ordinateur, et est néanmoins un véritable petit système d'exploitation. Cette interface est appelée à être le successeur du BIOS.

Gestion d'un disque

Version actuelle

Les blocs de données d'un disque sont numérotés linéairement et contiennent une quantité donnée de secteurs.

Ancienne version : problème des 1024 cylindres

Article connexe : Cylindre/Tête/Secteur.
Un bloc de données était repéré par un triplet de chiffres : cylindre, tête et secteurs. Au maximum, les anciens BIOS étaient conçus pour 1024 cylindres, 256 têtes et 63 secteurs ; par conséquent, si le chargeur d'amorçage se trouvait au-delà du 1024e cylindre, le BIOS ne pouvait pas l'atteindre

Source: [wikipedia]

vendredi 11 novembre 2011

Microsoft Security Essentials

 

À propos de Microsoft Security Essentials

Microsoft Security Essentials offre à vos ordinateurs personnels ou ceux de votre petite entreprise une protection en temps réel contre les virus, les logiciels espions et autres programmes malveillants.
Microsoft Security Essentials est un logiciel gratuit*, facile à installer et convivial. Il fonctionne efficacement et silencieusement en arrière-plan pour vous laisser libre d'utiliser votre PC sans être interrompu ni sollicité lors des mises à jour.
Besoin d'une solution de sécurité pour votre entreprise ?
Microsoft Security Essentials est disponible pour les petites entreprises comptant moins de 10 PC. Si votre entreprise possède plus de 10 PC, vous pouvez les protéger avec Microsoft Forefront Endpoint Protection.

* Votre PC doit exécuter une version authentique de Windows pour que vous puissiez installer Microsoft Security Essentials.



samedi 5 novembre 2011

How To Install windows XP



Download the simulator : Télécharger/Download



Description : Il arrive que notre système d’exploitation se détraque et que la seule solution reste la réinstallation. Il se peut qu’on est pas toujours habilité à faire cette réinstallation car soit on ne sait pas comme faire soit on a peur de perdre nos précieuses données. Heureusement qu’il existe un simulateur d’installation de système d’exploitations mais destiné uniquement pour Windows XP pour le moment et il se nomme Windows XP Setup Simulator. Le logiciel vous apprend à installer Windows XP sans aucune peur car c’est carrément sans risque pour votre système et votre matériel. Le logiciel ne fait que simuler l’installation avec toutes les étapes à passer comme si c’était un vrai, sauf qu’à la fin il n’est pas utile de redémarrer l’ordinateur. Le logiciel peut aussi servir apprendre l’installation de Windows 2003 car il est similaire à celle de Windows XP. Le logiciel contient aussi un document qui vous apprend à bien paramétrer Windows XP et quelques prises en main rapide. Un très bon logiciel didactique pour apprendre tout seul à réinstaller son système d’exploitations

jeudi 3 novembre 2011

Windows live Messenger


Windows Live Messenger (WLM, anciennement MSN Messenger) est un logiciel client propriétaire lié à un service propriétaire de messagerie instantanée (utilisable gratuitement) pour Windows XP, des consoles de jeux et des téléphones portable, et produit par Microsoft. Il offre les services de VoIP et de visioconférence depuis sa version 8.0.
Windows Live Messenger, dont le nom est tiré de la gamme de services Microsoft en ligne appelée Windows Live, offre également la possibilité d'appeler son correspondant directement même s'il n'est pas en ligne, un système de dossier partagé (protégé par un anti-virus spécifique à WLM si l'ordinateur en est dépourvu) qui pourra être lu par les contacts de votre liste, la VoIP, un outil de recherche à partir de sa liste de contacts. D'autres fonctions sont en constante évolution, comme le nombre maximal de contacts qui s'étend à présent à 600, l'outil de visioconférence ou encore la possibilité de trier ses contacts par statuts, par groupes ou par date de modification de l'espace personnel.
Microsoft n'a conçu WLM sur ordinateur que pour Windows. Les systèmes Mac OS peuvent néanmoins utiliser une version spécifique, Microsoft Messenger pour Mac, développée par une entité de Microsoft, mais cette version comporte de nombreuses lacunes, comme l'absence de visioconférence et de conversation audio.

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Historique
La messagerie instantanée connaît un franc succès auprès du grand public depuis la diffusion du premier logiciel destiné à cet effet pour Windows : ICQ, édité par Mirabilis et distribué gratuitement.
Le concept était simple : un logiciel, installé sur la machine de l'utilisateur, lui permettait de savoir si des connaissances à lui - "ses contacts" - étaient présents sur internet et, le cas échéant, de pouvoir dialoguer textuellement avec eux.
La société Yahoo a proposé en 1998[2], un logiciel concurrent : Yahoo! Pager qui deviendra rapidement Yahoo! Messenger. La même année ICQ a été racheté par AOL, géant d'internet qui proposera peu après son logiciel : AIM, basé sur le même protocole d'ICQ.
C'est dans ce contexte concurrentiel qu'en 1999[3], Microsoft sortit lui aussi son logiciel de messagerie instantanée : MSN Messenger. Windows XP intégrera Windows Messenger, compatible avec MSN Messenger.
Depuis, Microsoft a considérablement étendu la part de marché de son logiciel de messagerie instantanée, en l'incorporant notamment au sein de son système d'exploitation de l'époque, Windows XP, stratégie qui s'était déjà avérée payante avec son navigateur web quelques années auparavant.

Windows Live Messenger

  • Gestion du statut parmi quatre proposés par défaut : Disponible (logo vert), Occupé (logo rouge), Absent (logo orange) et Hors ligne (logo blanc). Les anciens statuts avant WLM 2009 étaient les suivants : En ligne, Occupé, De retour dans une minute, Absent, Parti manger, Au téléphone, Hors ligne. On peut choisir son statut avant comme après connexion et changer à tout moment ;
  • Attribution d'un pseudonyme : il est possible également d'ajouter un message personnel, visible dans la liste de vos contacts à droite de son pseudonyme, permet aussi d'afficher le fichier musical joué dans Windows Media Player, iTunes, Spotify, Winamp, musikCube, Media Player Classic, JetAudio, Songbird et VLC media player (ces derniers grâce à un plugin) ;
  • Organisation des contacts : affichage des contacts par adresse MSN Messenger ou par pseudonyme, affichage des avatars, tri par groupe ou par connecté/non connecté et classement dans des groupes personnels ;
  • Dessin dans une conversation ;
  • Également : recherche commune avec son contact, avoir une carte de visite, créer une conversation à plusieurs, sauvegarder ses discussions, sauvegarder sa liste de contacts, etc.
Des interactions multimédia sont également possibles :
  • Conversation audio/vidéo : conversation audio (grâce à un microphone et des enceintes ou un micro-casque) et vidéo (grâce à une webcam) ;
  • Création d'un diaporama pour partager ses photos ;
  • Écoute de musique partagée (disponible dans certains pays seulement);
  • Envoi et réception de fichiers ;
  • Partage de calendrier accompagné d'évènements avec un contact ;
  • Mini jeux : Diamants, Démineur, Dames, Solitaire, Morpion, Poker, Quarto , Tic Tac Toe et encore plus de jeux sont disponibles.
Il existe des extensions pour MSN Messenger qui lui ajoutent des fonctionnalités, l'une des plus célèbres étant Messenger Plus.

Identifiant

Pour utiliser WLM, il faut créer un compte sur Windows Live ID (anciennement « Passport ») avec n'importe quelle adresse électronique valide (l'adresse de courrier électronique est l'identifiant). Celle-ci ne doit pas forcément être une adresse Hotmail, le service de courrier électronique de Microsoft.
Note : L'ouverture d'un compte de courriel sur Windows Live Hotmail ouvre automatiquement un compte Windows Live ID. Mais toute autre adresse électronique peut également y être associée : il suffit de l'enregistrer sur le portail Windows Live ID.

Fonctionnalités

Ce logiciel est principalement un logiciel de messagerie instantanée, mais il dispose d'autres fonctionnalités, telles la gestion des contacts, le partage de calendrier, le dessin à distance, la téléphonie, la visioconférence, l'échange et le partage de fichiers.

Microsoft Messenger pour Mac

Article détaillé : Microsoft Messenger pour Mac.
L'avant dernière version de Microsoft Messenger est la 7.0.1, compatible avec Mac OS X 10.4.9 et supérieures. Elle est également Application Universelle, la rendant compatible nativement sur processeurs Intel et PPC. Cette version est sortie le 29 avril 2008. Sur le site de Messenger pour Mac, dans leur paragraphe d'introduction, Microsoft affirme avoir conçu cette version spécialement pour les utilisateurs corporatifs de Messenger pour Mac et de Office Communications Server et résume en une ligne les nouveautés à la version personnelle. Une version bêta de Messenger pour Mac est sortie fin mars 2010, incluant une gestion des conversations audio et vidéo. La version finale est lancée le 26 octobre 2010 avec la sortie de Microsoft Office 2010 pour Mac.

Logiciels compatibles

Certains logiciels ont été créés afin de :
  • permettre de converser avec des utilisateurs du réseau de MSN Messenger sans être obligé :
    • d'utiliser le logiciel client propriétaire officiel ;
    • d'utiliser le système d'exploitation Windows ;
  • utiliser d'autres réseaux de messagerie (soit en simultané soit indépendamment) ;
  • avoir des options supplémentaires.
Le contrat de service Microsoft[4] n'autorise l'utilisation que de certains autres logiciels[5].
Cependant, les logiciels suivants peuvent interagir avec le service (la liste est loin d'être exhaustive...) :
  • Adium : Client libre multiprotocoles pour Mac OS X, il utilise une partie des API de Pidgin ;
  • aMSN : Logiciel libre disponible sous Linux, Mac OS X, BSD et Windows ;
  • Emesene : Logiciel libre disponible sous Linux et Windows
  • Empathy : Logiciel libre de messagerie instantanée intégré sur Ubuntu (à partir de la version 9.10) disponible sur Linux.
  • Fire : Client multiprotocoles pour Mac OS X ;
  • Pidgin (anciennement Gaim) : Logiciel libre multiprotocoles, multicomptes pour Linux, Mac OS X, Unix et Windows ;
  • Kopete : Logiciel libre multiprotocoles pour Linux, Mac OS X et Unix, il est le client officiel du projet KDE ;
  • KMess : Logiciel libre un autre client pour KDE sous Linux ;
  • Mercury Messenger : Client MSN Messenger propriétaire et multiplate-forme écrit en Java ;
  • Miranda IM : Logiciel libre multiprotocole pour Windows ;
  • Wambo : Logiciel propriétaire Client multiprotocole et partage de médias pour Windows ;
  • Trillian : Client multiprotocoles pour Windows.
  • Beup Live : Client realisé par HtheB permettant de se connecter à un compte MSN Messenger par le biais de la Nintendo DS.
eBuddy et meebo proposent un service de messagerie multiprotocoles via un site web. Aucune installation n'est donc nécessaire.
Windows Messenger, est une version amoindrie de MSN Messenger présente sur le système d'exploitation Windows XP. C'est un composant intégré de Windows XP qui permet de lancer depuis Messenger : l'Assistance à Distance, le Partage d'Application et le Tableau Blanc. Il est compatible avec MSN Messenger et a permis d'imposer celui-ci. Windows Messenger n'est plus développé par Microsoft. La dernière version stable est la 5.1.0701.
Il est aussi possible de se connecter au réseau MSN Messenger aux utilisateurs du standard ouvert de messagerie instantanée Jabber par l'intermédiaire d'une passerelle (transport).

MSN Web Messenger

Il était également possible de se connecter au réseau MSN Messenger via le site de MSN Web Messenger.
Ce service a fermé le 30 juin 2009,[6], pour devenir directement accessible depuis Windows Live Hotmail.
Techniquement, ce site ne nécessitait pas l'installation préalable du client MSN Messenger. Il était compatible avec Microsoft Internet Explorer 5.0 ou supérieur, Netscape 7.1 ou supérieur ou la suite Mozilla 1.6 ou supérieur, sous Windows. Le navigateur Mozilla Firefox étant basé à l'origine sur la branche 1.7 (plus précisément sur la version 1.7.13) de la suite Mozilla, il était pris en charge quasiment officiellement.

Business model

Ce logiciel est financé en partie par la publicité. À l'initiative de l'utilisateur, une partie des bénéfices pouvait être reversée à des associations[7].

Protocole propriétaire et fermé

MSN Messenger utilise le protocole propriétaire Microsoft Notification Protocol (MSNP) par-dessus TCP (et optionnellement par-dessus HTTP pour pouvoir utiliser les proxys) pour se connecter au service .NET Messenger - un service offert sur le port 1863 de messenger.hotmail.com.
Sa version actuelle est la 18 (MSNP18), elle est utilisée par Windows Live Messenger 9(final) et d'autres clients tiers.
Le protocole n'a pas été toujours complètement secret : Microsoft a révélé la version 2 (MSNP2), désormais obsolète, aux développeurs en 1999, mais n'a jamais révélé les versions 8 et plus récentes.
Les serveurs .NET Messenger Service n'acceptent actuellement que les protocoles des versions 8 et ultérieures, ce qui fait que la syntaxe des nouvelles commandes des versions 8 et plus récentes est uniquement connue en utilisant des renifleurs tels que Wireshark (étude légale à des fins d'interopérabilité).
Une liste des ports utilisés est publié par Microsoft.

Filtrage et sécurité

Le protocole de communication de MSN Messenger utilise une architecture centralisée. Tous les messages d'un expéditeur passent par les serveurs de Microsoft avant d'être acheminés au destinataire.
Cela permet, et grâce notamment aux systèmes de sécurité qui ont été mis en place dans les versions les plus récentes de WLM (versions 8), de filtrer le contenu transféré via ces serveurs. C’est ainsi que nous pouvons remarquer le blocage des transferts lorsque les extensions des fichiers sont les suivantes (liste non exhaustive et à vérifier) :
ade, adp, app, asp, bas, bat, cer, chm, cmd, com, cpl, crt, csh, exe, fxp, hlp, hta, inf, ins, isp, its, js, jse, ksh, lnk, mad, maf, mag, mam, maq, mar, mas, mat, mau, mav, maw, mda, mdb, mde, mdt, mdw, mdz, msc, msi, msp, mst, vba, vbs
Il est néanmoins possible grâce à l’éventuelle apparition dans certains cas d’une boîte de dialogue informant des dangers encourus, d’autoriser tout de même, manuellement, l’envoi des fichiers de ces types.
Par ailleurs, un tel système n'exclut techniquement pas la possibilité d'enregistrement et de profilage des discussions des utilisateurs. Les serveurs étant situés aux États-Unis, les lois informatique et liberté françaises ne s'appliquent pas. Un nombre d'entreprises, soucieuses de leurs secrets commerciaux, y préfèrent donc un protocole ouvert (par ex. : Jabber et XMPP) et choisissent ou installent un serveur sur le territoire de leur choix. Pour autant, aucun cas d'affaires de ce type n'a jamais été déclaré.
De plus, il est parfaitement possible de filtrer les messages. Auparavant, les messages contenant certains mot-clefs n'étaient pas transmis à leur destinataire, sans que leur expéditeur en fût averti. Actuellement, certains mots et adresses internet envoyés via le protocole WLM sont bloqués sans que l'émetteur ni le destinataire ne soient avertis, bien que l'émetteur soit parfois informé du blocage par un message peu explicite du type « Le message suivant n'a pas pu être remis à tous les destinataires : <message> ». Microsoft juge cela comme une barrière de sécurité supplémentaire au motif que des sites portant cette extension ont été reconnus comme dangereux. La protection offerte est néanmoins toute relative, étant facile à contourner grâce à des services de redirection d'URL, et occasionne nombre de faux positifs, comme en témoignent les nombreuses plaintes d'utilisateurs à ce sujet.

Censure

Le protocole de communication utilise une architecture centralisée. Tous les messages d'un expéditeur passent par les serveurs de Microsoft avant d'être acheminés au destinataire. Il a été découvert fortuitement que les serveurs MSN Messenger censuraient certains messages envoyés par les utilisateurs en se basant sur une liste de mots. Cette liste est maintenue privée par Microsoft.
Cette censure s'applique aux messages envoyés depuis le logiciel de messagerie de Microsoft, y compris la dernière version (Windows Live 2008), et sur les clients non développés par Microsoft, dont les clients libres et les robots transmettant des virus via le réseau MSN.
La liste des mots filtrés n'a pas été publiée par Microsoft et la liste des mots censurés trouvés par les utilisateurs change régulièrement. En voilà des exemples, non exhaustifs :
  • http://[adresse internet]/download.php
  • http://[adresse internet].pif
  • http://[adresse internet].ath.cx
D'autres sont enlevés, sans doute parce que trop contraignant. Par exemple, ont été bloqués :
  • setup.exe
  • fuck (visiblement plus maintenant)
  • http://[adresse internet].scr
  • http://[adresse internet]/gallery.
Avant la version 2008 de WLM, ce filtrage était visible depuis certains logiciels de messagerie instantanée libres, sous la forme d'une déconnexion puis reconnexion très rapide du contact concerné. Cela ne semble plus être appliqué actuellement, ce qui montre peut-être une différence dans l'implantation du filtrage. Comme la censure est effective quel que soit le client, elle semble appliquée au niveau du serveur. Si vous tentez d'envoyer un message non permis, le message suivant apparaît : "Le message suivant n'a pas pu être remis à tous les destinataires :", suivi du message.
Ramarque : [source]-[wikipidia]